Chercheur·e du réseau


Faculté de science politique et de droit
Lucia Flores Echaiz
Étudiant.e de maitrise
Université du Québec à Montréal (UQÀM)
Faculté de science politique et de droit
Département des sciences juridiques
Intérêts de recherche
  • Intelligence artificielle
  • Droits humains numériques
  • Discrimination algorithmique
Informations générales
Direction de recherche : 
Hugo Cyr
Principales réalisations
LE DIALOGUE INCLUSIF SUR L’ÉTHIQUE DE L’IA

"L’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture a chargé des expert.e.s internationaux de rédiger une première version d’une recommandation sur l’éthique de l’intelligence artificielle. L’UNESCO s’est associée à Algora Lab et Mila pour consulter les parties prenantes et les citoyen.ne.s  du monde entier afin de recueillir les commentaires et les idées  du public sur leur projet. Ainsi  est né le projet Open Dialogue on Artificial Intelligence (ODAI).Ce processus de délibération international a impliqué 611 personnes de 54 pays. Sur ce total, 287 personnes ont participé aux 37 ateliers de délibération de petite taille (8 à 10 participant.e.s) dans 17 pays différents, tandis que 324 personnes ont pris part à 11 ateliers de plus grande taille (« délibinaires » — qui comptaient entre 10 et 70 participant.e.s).

Piloter l’IA et les TIC avancées pour les sociétés du savoir: une perspective basée sur les Droits de l’homme, l’Ouverture, l’Accessibilité et la participation Multipartite

De plus en plus, l’intelligence artificielle (IA) se trouve derrière les prises de décision de notre époque. Nos vies sont régies de manière croissante par la diversité des applications techniques associées à l’IA. Ces dernières, en l’espace de quelques microsecondes, parcourent des milliards de pages Web, pistes numériques et données dérivées de capteurs sensoriels, produisant des décisions sur la base d’algorithmes.L’IA et ses éléments constitutifs de données, d’algorithmes, de matériel informatique, de connectivité et de stockage accroissent de façon exponentielle la puissance des technologies de l’information et de la communication (TIC). Ce phé-nomène constitue une opportunité de taille pour le développement durable, tout en étant également porteur de risques auxquels nous devons collectivement faire face.